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Résultats des AAP 2023- 2è vague

Découvrez les lauréats de notre dernier appel à projets 2023 – 2è vague

ÉMERGENCE ET INNOVATION

Porteur de projet:
Cheng-Ming SUN

Equipe:
« Inflammation Complément et Cancer », Centre de recherche des Cordeliers

Résumé grand public:
Le cancer du rein figure parmi les cancers les plus fréquent dans le monde, entraînant environ 180 000 décès annuels. Les inhibiteurs des checkpoint immunitaires (ICIs) ciblant des molécules telles que PD-1 ou CTLA-4 ont révolutionné la thérapie contre le cancer. Cependant, tous les patients ne bénéficient pas du traitement par ICI, et des inquiétudes persistent quant à la durabilité et à la toxicité. L’identification de biomarqueurs fiables pour la réponse et la toxicité, ainsi que la compréhension des mécanismes sous-jacents de l’immunothérapie ICIs, sont cruciales pour améliorer l’efficacité de cette dernière. L’objectif est d’identifier des biomarqueurs potentiels et de révéler les réponses immunitaires induites par les traitements par ICI. Nous utilisons la cytométrie de flux multispectrale, capable d’identifier jusqu’à 40 marqueurs sur une cellule, pour analyser de manière approfondie les cellules immunitaires circulantes des patients atteints de cancer du rein avant et après l’immunothérapie.

Porteur de projet:
Dr Ismael BOUSSAID

Equipe:
« Hématopoïèse normale et pathologique », Institut Cochin

Résumé grand public:
Non disponible

Porteur de projet:
Pr Nelly BURNICHON

Equipe:
«Génétique et Métabolisme des Cancers rares », PARCC

Résumé grand public:
Les phéochromocytomes et les paragangliomes (PPGL) sont des cancers rares qui se forment dans le système nerveux endocrinien. Ils sont souvent héréditaires, et sont alors causés par des mutations dans différents gènes de susceptibilité. Environ 15 à 20 % de ces tumeurs se propagent à d’autres parties du corps, et la survie à cinq ans pour ces patients est d’environ 40 à 50 %. On sait peu de choses sur le système immunitaire qui infiltre ces tumeurs. Notre hypothèse est que les hormones de stress et/ou une substance appelée succinate, produites par les cellules tumorales, pourraient affaiblir le système immunitaire proche de la tumeur, ce qui pourrait rendre les traitements utilisant l’immunothérapie moins efficaces. Ce projet fait partie d’un effort collaboratif en Europe visant à comprendre le microenvironnement des PPGL, en lien avec leur sécrétion. Nous utiliserons une technologie appelée OLink® pour étudier comment les hormones de stress et/ou le succinate affectent les cellules immunitaires et inflammatoires présentes dans le sang des patients. Nous allons examiner 40 échantillons de plasma provenant de patients atteints de PPGL, présentant des profils génétiques et une gravité de la maladie variables. Cette approche nous aidera à mieux comprendre les réponses immunitaires spécifiques et à détecter la présence éventuelle de cellules tumorales dans le sang des patients atteints de formes métastatiques de la maladie. Ceci pourra permettre de mieux comprendre cette pathologie, de développer des outils.

Post-DOctorat

Equipe:
« Inflammation, Complément et Cancer», Centre de recherche des Cordeliers

Directeur d’équipe:
Pr Isabelle Cremer

Résumé grand public:
Non disponible

Equipe:
« Leucémies et dynamiques de la niche», Institut Cochin

Directeur d’équipe:
Diana Passaro

Résumé grand public:
Non disponible

Equipe:
« Instabilité génomique, métabolisme, immunité et tumorigenèse hépatique», Centre de recherche des Cordeliers

Directeur d’équipe:
Chantal Desdouets

Résumé grand public:
Non disponible